J’aurais pu traiter ce thème dans une plus grande partie consacrée à l’inspiration de ce roman.

Mais d’une part j’avais beaucoup de choses à dire sur les sources littéraires, d’autres part j’en avais trop à dire sur mes sources musicales d’inspiration…

Je suis un grand amateur de musique. Comme à peu près tout le monde me direz-vous. Certes. Mais j’aime tout particulièrement un style de musique, tout à fait adapté à l’écriture de romans : les bandes originales.

Car si dès l’enfance j’adorais les grands thèmes de musique classique que je pouvais écouter en boucle (comme la Symphonie du Nouveau Monde d’Anton Dvorak), j’ai bien vite été saisi par l’intensité, la dramaturgie, la force entrainante des musiques de films, de série et plus tard de jeux vidéos.

Ainsi, lorsque j’ai commencé à écrire ce roman, j’ai assez vite composé une playlist assez hétéroclite. Et selon les chapitres en cours d’écriture, j’en écoutais plus ou moins certains passages.

Ce fut d’abord une sorte de « musique de démarrage », m’aidant à m’installer dans cet état d’esprit très particulier qu’est celui de l’écriture. Mais très vite, je fus plus près d’un sorte de programmation mentale, et la simple perspective de lancer cette playlist me permettait de reprendre mon écriture où je l’avais laissé, comme un film mis sur pause  que vous reprendriez quelques heures ou quelques jours plus tard.

Hans Zimmer, Lorne Balfe, Jasper Kyd, James Horner… Si ces noms ne vous disent rien, n’ayez aucun doute sur le fait que leur musique vous sont déjà familières. Et au milieu d’elles, quelques authentiques chefs-d’œuvre.

Aux moments calmes une musique lente et dramatique, aux scènes d’action des rythmes durs et entrainants, et aux moments tragiques des son tristes où les larmes pouvaient monter…

Cette partie cruciale de mon processus d’écriture, j’ai choisi de la partager avec vous.

Vous retrouverez ainsi l’intégralité de ma playlist sur le lien Spotify suivant :

Puissiez-vous plonger comme moi dans l’intensité de chaque morceau…